Houla, c’est le stress récemment ! Ben,
Houla, c’est le stress récemment !
Ben, finalement un mariage ne se prépare pas dans un rien de temps…
Donc, voici est un nouveau
conte de fées pour vous divertir, pendant que moi, je continue les préparations !
A + !!
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(traduction libre par steffikuma)
Un
jour, à midi, le vieil homme dénoua le tissu dans lequel était emballé la
boite, l’ouvrit et fut étonné. Le repas était perdu, et à la place duquel, il y
avait un piaf dedans. Celui-ci s’était endormi ayant mangé tout le déjeuner.
Comme le piaf était très mignon, le vieil homme le ramena à la maison.
Le
vieil homme et le piaf étaient bientôt de bons amis et allèrent partout
ensemble. Pendant le travail comme pendant le repas, le piaf ne cessait jamais
de voler autour du vieil homme ou de s’asseoir sur ses épaules. Le vieil homme
aimait beaucoup le petit piaf. Il l’appelait « oisillon » et jouait
souvent avec lui pendant des heures entières.
Un
jour, le vieil homme alla dans la montagne sans son Oisillon. La vieille femme
prépara du varech et puis alla à la rivière afin de laver des vêtements. Comme
le varech était le repas préféré de l’oisillon, il décida d’en manger un peu.
Mais le varech était si bon que le piaf ne pu résister et mangea tout, ne
laissant qu’une assiette vide, bien qu’il sache que la vieille femme serait
très fâchée.
Quand
la vieille femme rentra de la rivière et vit que son varech avait disparu, elle
se fâcha beaucoup.
« Qui
a mangé mon varech ? » se demanda-t-elle et puis regarda Oisillon,
dont le bec était encore plein de varech.
« Oh,
ce méchant piaf ! » la vieille femme cria et saisit Oisillon. Puis
elle prit des ciseaux, coupa la langue du piaf en deux et le jeta de la maison.
Le pauvre piaf s’envola. Peu après, le vieil homme rentra de la montagne.
« Oisillon,
Oisillon ! » cria-t-il, mais ne put voir nul part son piaf bien-aimé.
Le
vieil homme demanda à sa femme, où Oisillon se trouvait, mais elle
répondit :
« Ce
méchant piaf a mangé tout mon varech. C’est pourquoi, je lui ai coupé la langue
en deux et je l’ai jeté hors de la maison. »
A ces
mots, le vieil homme dit :
« Mais
qu’est-ce que tu as fait ? Ce n’est pas le piaf qui est méchant, mais
toi ! »
Puis il
s’en alla pour chercher l’oisillon.
Le
vieil homme arriva bientôt à une rivière, où un berger lavait sa vache.
« Berger,
est-ce que tu as vu un piaf avec la langue coupée en deux ? » lui
demanda-t-il.
« Je
l’ai vu, je l’ai vu », répondit le berger.
« Mais
d’abord, il faut que tu boives sept seaux pleins de l’eau avec laquelle j’ai
lavé ma vache, sinon je ne te dirais pas où le piaf s’est envolé. »
Le
vieil homme, qui voulait absolument revoir son piaf, se força de boire les sept
seaux d’eau. Puis le berger dit :
« Continue
de longer ce chemin, et tu rencontreras un garçon d’écurie.
Demande-lui ! »
Peu
après, le vieil homme rencontra le garçon.
« Mon
garçon, est-ce que tu as vu un piaf avec la langue coupée en deux? » demanda-t-il.
« Je
l’ai vu, je l’ai vu », répondit le garçon d’écurie.
« Mais
d’abord, il faut que tu boives sept seaux pleins de l’eau avec laquelle j’ai
lavé le cheval, sinon je ne te dirais pas où le piaf s’en est volé. »
De
nouveau le vieil homme se força de boire les sept seaux d’eau. Puis le garçon
dit :
«
Si tu poursuis ce chemin de montagne toujours tout droit, tu arriveras à un
bosquet de bambou. Là, tu trouveras la cabane du piaf. »
Le
vieil homme poursuivit le chemin de montagne et entra dans le bosquet de
bambou. Quand il arriva à la cabane du piaf, il cria :
Oisillon,
la vieille femme était très méchante. Je suis venu pour m’excuser chez
toi. »
Le piaf
était très content que le vieil homme soit venu et l’invita à entrer dans la
cabane et à manger. Oisillon et le vieil homme étaient très heureux et s’entretinrent
pendant un long moment. Le vieil homme voulait ramener le piaf à sa maison,
mais Oisillon refusa :
« Je
ne vais plus jamais dans la maison où la vieille femme habite. »
Le
vieil homme en fut très triste, mais il comprit aussi les sentiments du piaf.
Quand le temps fut venu de se séparer, le piaf apporta deux coffres, un grand
et un petit, et dit au vieil homme :
« C’est
un cadeau pour toi. Tu peux choisir l’un des coffres. »
Le
vieil homme dit :
« Comme
je suis vieux et ne sais plus bien marcher, je préfère prendre le plus petit
coffre. »
Puis il
rentra. Quand il arriva à la maison et ouvrit le coffre avec sa femme, ils
furent très étonnés. Dans le coffre se trouvait de l’or, de l’argent et
plusieurs autres trésors. Le vieil homme raconta alors à sa femme son voyage à
la cabane du piaf. Quand la femme écouta l’histoire, elle fut très
fâchée :
« Pourquoi
n’as-tu pas choisi le grand coffre ? »
Puis elle décida d’aller elle-même à la
cabane afin de recevoir le grand coffre.
La vieille femme prit la même route que le
vieil homme et bientôt rencontra le berger des vaches.
« Berger,
est-ce que tu as vu un piaf avec la langue séparée ? »
demanda-t-elle.
« Je
l’ai vu, je l’ai vu », répondit le berger.
« Mais
d’abord, il faut que tu boives sept seaux pleins de l’eau avec laquelle j’ai
lavé ma vache, sinon je ne te dirais pas où le piaf s’en est volé. »
Mais la
vieille femme cria :
« Quoi ?
Il faut que je boive une telle eau sale ? Je ne le ferai certainement pas,
parce que je connais la route et n’ai pas besoin de ton aide ! »
Peu
après, la vieille femme rencontra le garçon d’écurie. De nouveau, elle refusa
de boire l’eau sale, poursuivit le chemin de montagne et arriva bientôt à la
cabane du piaf.
« Vieille femme, pourquoi es-tu
venue ici ? » demanda celui-ci quand il vit la femme qui
répondit :
« Je m’étais occupée de toi tout le
temps et ainsi, j’ai voulu te voir une dernière fois. »
Le piaf
avec la langue séparée invita la vieille femme à manger, mais elle dit:
« Puisque
je n’ai pas assez de temps, je veux seulement recevoir mon cadeau et puis, je
rentrerai tout de suite à la maison. »
Le piaf
montra aussi à la femme deux coffres et lui demanda si elle voulait le grand ou
le petit.
« Je
sais encore bien marcher, alors donne-moi le grand coffre », répondit la
vieille femme. Elle prit donc le lourd coffre et rentra.
Ayant
marché pendant de longues heures et étant entre-temps devenu très fatiguée, la
vieille femme décida de se reposer un peu. De plus, elle voulait voir les
trésors dans le coffre. Bien que le piaf ait interdit d’ouvrir le coffre avant
que la femme ne soit arrivée à la maison, elle ne put plus attendre et ouvrit
le coffre. Des serpents, des scorpions et de nombreux monstres sortirent du
coffre. La vieille femme fut si apeurée qu’elle en mourut.